黑暗中的孩子们
地区:加拿大
  类型:法国
  时间:2025-07-18 06:41:32
剧情简介

目标成为作家的青年李钟秀(刘亚仁 饰),黑暗孩平日里靠兼职养活自己。经营畜牧业的父亲不谙人情,黑暗孩官司缠身,迫使钟秀又要为了搭救父亲而四处奔走。这一日,钟秀在某大型卖场重逢了当年的同学申惠美(全钟淑 饰)。惠美计划近期前往非洲旅行,于是拜托钟秀照看爱猫Boil。不久后惠美回国,与之一同下飞机的还有名叫本(史蒂文·元 饰)的男子。本驾驶保时捷,居住在高级公寓内,优哉游哉,不见工作,四处玩乐,和钟秀相比有如天上地下。不知为何,本走入平民钟秀和惠美的生活,更向新朋友讲述了他奇特的癖好。在钟秀家小聚的那个晚上过后,惠美仿佛人间蒸发了一般无影无踪……本片根据村上春树的短篇小说《烧仓房》改编。

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明星主演
范晓萱
柯有伦
王蓝茵
最新评论(951+)

李翊君

发表于7分钟前

回复 :琪琪(莱斯利·卡伦 Leslie Caron 饰)是一个美丽天真的少女,自小被祖母抚养长大的她养成了自由又不羁的性格。祖母希望琪琪能够成为一位出入上流社会的淑女,为此,她将琪琪送往了她的姨妈家接受特殊的训练课程。在姨妈家,琪琪遇见了帅气多金的加斯东(路易斯·乔丹 Louis Jourdan 饰),在琪琪年幼的时候,他们早已相识,而此时的琪琪已然出落成为了亭亭玉立的模样,这让加斯东的内心荡漾起了涟漪。祖母将加斯东对琪琪的感情全都看在了眼里,开始想方设法撮合两人。一番波折后,琪琪和加斯东终于两情相悦了,加斯东不仅送给琪琪珍贵的珠宝,还带着她出入各类上流社会的高档舞会。面对突如其来的荣宠,琪琪有些得意忘形,而她的所作所为没有逃过加斯东的双眼。


安七炫

发表于4分钟前

回复 :巴黎一所顶尖芭蕾舞学院的两名女生在竞争加入巴黎欧佩拉国家芭蕾舞团的合同时,接受了亲情和身体测试。


田馥甄

发表于7分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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