黑疯婆子的万圣节
地区:香港
  类型:歌舞
  时间:2025-07-16 03:09:53
剧情简介

阿尔方斯妮(葛丽泰·嘉宝 Greta Garbo 饰)本是一位出生在偏僻小村庄里的穷苦姑娘,黑疯被贪婪的父亲卖给了商人,黑疯之后一路辗转颠沛流离来到了繁华的大都市巴黎。凭借着迷人的美貌和过人的智慧,阿尔方斯妮一举成为了巴黎上流社交圈内的交际花,整日生活在荼蘼的灯红酒绿之中,人们送给了她“茶花女”的美誉。纸醉金迷的生活迅速的消耗了阿尔方斯妮的健康,使她患上了肺病,善良的公爵因为阿尔方斯妮酷似她不久之前去世的女儿,而对她伸出了援手。一次偶然中,阿尔方斯妮邂逅了作家小仲马(罗伯特·泰勒 Robert Taylor 饰),情不自禁的坠入了情网。然而,两人的经历和身份悬殊实在巨大,这段感情将注定不会有一个圆满的结局。

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明星主演
李天琪
林凡
黎姿
最新评论(242+)

安百慧

发表于7分钟前

回复 :Koktebel是一个黑海边上的小镇,是影片中一对父子将要前往的地方。父亲是个丧妻又失业的工程师,对他而言,这次旅途包含着重拾生命的自尊、愈合破碎生活并赢回儿子信任的企望;而对于11岁的儿子来说,想象中的海边小镇仿佛是一扇通往新生活和解放道路的大门,他急切地梦想着在海边仰望海鸥翱翔风中。然而,父亲难逃成年人的软弱、酒精以及爱情的勾留,停留在半路上一个女人的身边。儿子则决然地独自上路,前往想象中的远方。


虎子

发表于4分钟前

回复 :There's little wonder in the working-class lives of Bill, Eileen, and their three grown daughters. They're lonely Londoners. Nadia, a cafe waitress, places personal ads, looking for love; Debbie, a single mom, entertains men at the hair salon after hours; her son spends part of the weekend with her ex, a man with a hair-trigger temper. Molly is expecting her first baby and its father acts as if the responsibility is too much for him. Eileen is bitter, complaining about her husband and the dog next door; Bill's a doormat. His West Indian neighbor offers him a drink; her own grown son locks himself in his room most of the time. Will anyone connect during this Guy Fawkes weekend? Written by <jhailey@hotmail.com>


林宇中

发表于1分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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